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Mon Histoire

Sandrine Richard
plantes

Ces dernières années, j'ai mis toute mon énergie dans des projets pour être "plus" heureuse (changements de boulots, déménagements multiples.). J’avais tout ce que je désirais. Et pourtant j’avais toujours ce sentiment qu’il me manquait un petit je ne sais quoi pour être pleinement heureuse.

La révélation 

C’est lors d’une (énième) soirée de questionnement que j’ai eu le déclic.

Mon mari avait trouvé la phrase qui tue :

« Tu dois t'autoriser à être heureuse. Tu dois avoir envie de t’aider »

Et voilà, il venait de me clouer le bec. Plus d’injonctions, plus de protestations. Silence. J’étais bien trop fatiguée pour analyser les choses ce soir là, mais il avait appuyé là où il fallait. Je partis dans les bras de Morphée. Mon cerveau se questionnait et moi je dormais… Enfin !

La peur d'être heureux(se)

De manière inconsciente mon cerveau fit le taf (oh il est fort ce cerveau !). Mon mari avait raison. Je n’avais pas vraiment envie de m’aider. Je bloquais. Mais Pourquoi ?

La réponse m'apparut, et elle était toute simple, si simple que je ne la voyais pas. Elle se cachait bien la mignonne. Elle s’appelait la Peur.

Depuis tout ce temps, j’avais donc peur ?! Et oui... Peur d’être « trop » positive dans notre société où le négativisme et les râleries vont bon train. Peur de ne plus avoir grand chose à dire et d'être rejetée si je ne râlais plus. Ainsi, je mettais clairement sur le dos de tout le monde sauf de moi, mon mal-être.

 

Une personne optimiste ne refuse pas de voir le côté négatif des choses ; elle refuse de s’attarder dessus. Alexander Lockhart

 

Petit à petit, je compris mon erreur et intégrais que le changement devait venir de moi.

Et vous savez quoi ? C’était une double bonne nouvelle :

 

  1. Maintenant, peu importe ce qui se passe autour de moi, j’ai le pouvoir en moi de choisir d’être heureuse et de rebondir.
  2. Si tout dépend de moi, alors le champ des possibles est infini !

Formater son cerveau

J’ai commencé par me lancer le défi de faire 100 jours de Gratitude.  J’ai créé le groupe Facebook Le Cercle des Croqueurs de Bonheur. C’est l’énergie de ce groupe qui m’a aidée à franchir la ligne d’arrivée et à ne pas abandonner en chemin. A l'heure où j'écris ces mots, je débute une 2ème saison de défi 🙂 (aujourd'hui, le 9 mai 2019 est mon 127ème jour).

Je considère qu'à tout âge nous pouvons apprendre et mettre en place de nouvelles habitudes. C’est en ce sens que j’ai choisi de développer des outils pour contribuer au bonheur de tous, en respectant les besoins de chacun et en conciliant la vie de famille.

Bonne visite,

Sandrine

 

 

 

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